Vive L’Art


Je revenais d’un vernissage. Ayant abusé du champagne j’avais accepté l’offre de Antoine qui me ramenait chez moi accompagné de son ami. J’étais assise devant, pendant que Antoine conduisait. Je m’assoupie pendant la première partie du trajet. Je fus cependant réveillée par leur conversation, et fit semblant de dormir tout en écoutant.

- Tu crois qu’elle dort ou elle nous entend ?
- Elle à l’air de dormir profondément – répondit Antoine
- Tu m’avais caché que tes collègues de bureau sont si bonnes, elles sont toutes comme ca ?
- Déconne pas, celle la c’est la femme du patron
- Ben, elle me plait bien la femme du patron, et elle à l’air d’en vouloir aussi
- C’est vrai qu’elle a une sacré réputation. Y a pas mal de mecs qui se vantent de l’avoir vu baiser avec son mari dans les bureaux ou dans d’autres endroits plutôt insolites.
- On pourrait peu être tenter notre chance. Tu fais un crochet par le parc ?
- On peut toujours essayer avec un peu de chance, elle pourrait être d’accord.

Ayant entendue toute la conversation, je continuais de simuler voulant voir comment ils s’y prendraient pour me séduire. Je remuais un peu afin de placer mes cuisses dans la direction du conducteur. Habillée d'une jupe en soie pourpre et d’un pull en laine moulant faisant ressortir mes formes pulpeuses, je ne doutais plus de l’effet que je devais leur faire. Je sentie la voiture ralentir puis se stopper. Le moteur fut enfin couper.

- Et comment on procède maintenant demanda Antoine
- Très simple répondit son ami …

Je sentie deux mains s’emparer de ma volumineuse poitrine alors qu’e d’autres remonter mes cuisses gainées de collant de nylon. J’ouvris les yeux …et sur un ton endormi je demandais en gémissant :

- Mais que faites-vous ?
- On va s’occuper de toi la belle, tu as besoin d’amour on l’a vu tout de suite
- Antoine, arrêtez, que va dire mon mari
- Laisse-toi faire, et tu n’as pas besoin de lui dire

Je n’eu pas le temps de répondre, mon siège ayant été basculé en arrière et ma bouche envahie par la langue de l’ami de Antoine qui m’embrassait fougueusement.

Antoine avait passé ses mains en dessous de mes collant et de ma culotte et me caressait l’entre jambe. Ils me caressèrent vigoureusement alors que dans le même temps sa langue m’envahissait joyeusement me bâillonnant naturellement de toute protestation. Avec expertise ils jouaient de mon corps, m’emmenant exactement au point de non retour, mon désir devenant plus fort que ma pudeur ou toutes autres formes de résistance. Alain se redressa, et je le vis sortir dans l’obscurité son membre qui fièrement tendue se dressa devant mon visage. Son sexe força l’entrée de ma bouche et il le fit coulisser entre mes lèvres, le sortant régulièrement pour le tapoter sur mon visage. Antoine n’était pas en reste, il s’était placé devant moi entre mes cuisses et son visage plongeait entre mes jambes. Ses dents tiraient sur mon collant de nylon. Il le déchira enfin pour laisser le passage à sa langue qui après avoir écarté ma culotte s’était enfoncée en moi.

Ne sachant pas ou nous étions et prisonnière de ses 2 hommes je ne pouvais que me laisser aller à leurs caresses et leur désir, sentant venir en moi des orgasmes successifs. Tout en jouant de mon corps ils partageaient leurs impressions et les commentaires se faisant crus voir vulgaire : gourmande, goulue, butineuse disait l’un, pendant que l’autre me traitait de cochonne tout en me mangeant le sexe.

Alain plaça son sexe entre mes seins passant en dessous de mon pull et de mon SG et se branla serrant ma poitrine au travers de mon pull. Il faisait coulisser son engin maintenu par mes vêtements et la pression soutenue de mes seins comprimés par ses deux mains fortes. Antoine s’était relevé et commença à me pénétrer. Son sexe était grand et long, l’introduisant entièrement au fond de moi, tout en soulevant mes jambes au dessus de ses épaules. Ses grands coups de reins provoquèrent immédiatement une réaction en moi, mes soupirs se transformant en gémissements de plus en plus fort. Cette situation provoqua une multitude d’orgasme à répétition, mon excitation atteignant un niveau jamais égalé.
Je jouissais de cette situation ainsi que de ces 2 hommes me manipulant comme une poupée de chair sans aucune considération de ma personne. Le lieu insolite et ne pas savoir ou j’étais, décuplait plus encore mon excitation.

- Fourre lui ta queue dans la bouche sinon elle va ameuter tout le quartier cette salope
- Surtout que sa bouche et un véritable bonheur, elle suce comme une reine.
- T’aime ca patronne de te faire baiser comme ca, j’en ai rêvé de ce moment depuis des mois salope. Allez bouge moi ton gros cul

Antoine sorti son sexe et je sentis son sperme se répandre sur moi. De longs jets se répandirent sur ma jupe mes collants et mes cuisses. Alain me redressa, et m’amena vers la banquette arrière. Il me prit par derrière tout en se maintenant à mes collants déchirés comme un cavalier chevauchant une pouliche capricieuse. Il me pilonna un cours moment, je sentais qu’il ne pourrait tenir bien longtemps. Il jouit rapidement en moi s’écroulant parcouru de spasme de bonheur. Nous restâmes quelques minutes avant de reprendre un aspect décent, et ils me ramenèrent à la maison.

Le lundi à mon arrivée au bureau, j’ouvris un mail de Antoine, me remerciant pour cette fabuleuse soirée, et me proposant une exposition de peinture le weekend suivant.

Je pense que je vais devenir amatrice d’art…

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